T6-146R-01 (voir en contexte)

juin et juillet Valenciennes dès le 26 mai, l'ennemi avait un faubourg de valenciennes, XXVII, 452 30 mai. elle fut bloquée par York, émigrés, Lambesc, et autrichiens XXVIII, 145 à 11 heures du soir cochon et briez qui allaient plus loin, se jettent dans la place. beaucoup de bâtimens atteints des bombes = nombre d'habitans font signaux nocturnes ce qui explique v. p. 3référence bibliographique non élucidée.… centaines de fusées . .   pourquoi Lebon fut - les bourgeois et la ligue veulent se rendre,   terrible dans le mais les dragons (dragons de l'échafaud)   nord ; il fallait sauver veulent qu'on résiste cambrai on assiège l'hôtel de ville, on jette pierres, briques cochon qui se présentant, un boulanger allait lui fendre la tête d'un coup de fourgon ; villiers jeta son cheval entre . . .. . . (? comme pour sauver Dumouriez – suspension d'armes : anglais et émigrés plaignent la ligue injurient g. nationale mais dragons de l'échafaud ! x émigrés disent à un gén de brigade, qu'il est vendeur d'orviétan, 28 juillet le lendemain Valenciennes capitule lambesc . . villiers le salue .. est menacé le jour qui suit, on sort . . désarmés x x un officier de royal-allemand prétend reconnaître parmi les officiers de dragons un laquais de son père, veut lui arracher épaulettes . . Lambesc le suspend pr 15 jours on dépose armes sur les glacis à une demi lieue, on trouve york et le brillant état major des émigrés ils saluent la ligue, aboyent aux bleus (g. nationaux) un rég. de hussard veut sabrer les dragons – leurs officiers les empêchent (récit de villiers Lambesc fit avertir villiers, mais non le général Ferrand villiers avertit Ferrand (récit de villiers) Il ne dit pas que Cochon. Lapparent et Briez, eussent été massacrés = comme régicides, s'ils ne se fûssent déguisés en soldats on les chercha en vain (on eût sabré, comme à rastadt) barrère, même t. II, p . . . v. rabbe, article cochon-Lapparent, fructidorisé, comme Carnot, quoique non clichien clichien hard. II, 243 - 200 bouches à feu battent la ville pendant 2 mois - 84,000 boulets, 20,000 obus, 40,000 bombes - quarante jours de tranchée ouverte - la garnison de 7000 h. dépose armes promet ne plus servir contre alliés