juillet
ch. III. l'unité
donne discorde – ch. corday -
la France
unie, sous son déchirement apparent
(n. avons combien la
const. de rob. diffère peu de l'autre)
- divisée sur
l'accessoire, elle fut unie sur le principal les
classific. adoptées jusqu'ici très vaines la montagne composée de
bourgeois, et non d'hommes du peuple
gironde bourgeoise
de situation, non
de principe, s'étant trouvé appuyée
par les différence sur le
principe : Rob. bonheur ;
gironde maintien villes commerçantes
des
droitsdiff. sur institutions : l'extrême
montagne quid ? non, loi agraire = très peu utopistes –
ni
marat / v. son dîner
partage des communaux
ni chaumette ? bonheur commun ?
rien de socialiste,
sinon Lepelletier . .
= on se battait dans la
nuit . . tous se trompent, et calomnient. . .
montagnards
royalistes !
girondins
royalistes !
les girondins de Caen : faire roi L. XVII –– ceux
de Marseille, Orléans
t. 28,
240
v. Doppet
–et bordeaux
XVIII,
420
on
dit pour la rime garat et marat XVIII, 423
tandis que S. just les
appelle monck 244,
les girondins de Nantes portent au royalisme le plus grand
coup les gir. de bretagne envoyent peu à Caen, beaucoup vers nantes
les gir. repoussent royalisme et anglais, et
se paralysent. . les gir. de bordeaux
tiennent en Vendée jusqu'en juillet
Les gir. de lyon alimentent armée des alpes -
peu, très peu de gir.
alors sont
royalistes beaucoup le
deviendront ex Duchâtel,sous la réaction -
Larivière ?
on verra le faible
isnard
caché au faub. s. antoine
mais le temps n'est
pas venu.. dans 2 ans, c. à. d.
deux siècles
= quand ils voyent royalisme, se
détachent.. ainsi à bordeaux,
l'off. munic. qui dit à treilhard..
à lyon, biroteau s'enfuit quand il entrevit royalisme
à marseille,
rebecqui se tua, lorsque..
à toulouse suffit d'arreter.. 20 juin
Ne
craignez
point lyon, dit Rob.
lindet (et gonchon). v. sa lettre Ne craignez
bordeaux, dit le min. bouchotte à boulard [officier, I, 270]
garat ne craint pas non plus XVIII,
421-2 il désigne treilhard et mathieu
habileté
de treilhard à bordeaux, il n'allègue que le besoin d'unité
–––– de
Danton en normandie.. il envoye argent, Deforgues
et de lindet, qui va lui-même, pacifie garat, XVIII, 414, 419
guillon I,
275
Dur.
maillane
garat veut y aller, prolonger délais. XVIII, 414.
S. just même voulait y aller = en normandie attachée à
L. XVI
(Lamartine) –
royaliste
négativ. Wimpfen subit
gironde 358 bêtise : pétion brûler caen !
mais louvet 106-9
inertie puisque
wimpfen ne bougea: il allègue : j'avais envoyé P. pour magasin
il voulut ravir victoire
lequel
puisaye attend dans un
château - L. Dub. 15
tristesse de ch.
c., quand sur la prairie de Caen, elle
voit si peu
pas 30 de
volontaires, L. D. 104 ch. corday
Lamartine
la patrie
abandonnée ! ne se plaint de personne
craint que g. civile ne
traîne . . . veut la
paix, en se donnant 122-3.
ne v. affligez. . la
cause en est belle (corneille ?)
seule. . une jeune
religieuse de la liberté. . de 13 à 21 seule, pour famille - seule, pour amour vain roman de franquelin
seule pr
religion. . ne se confessait . . . seule pour société et même en
contraste avec tout ce qui l'entoure
avec son couvent
(amis belzunce)
avec nobles qui y viennent
De là
1°
pureté,
enfance
prolongée - voix enfantine intonation singulière
le
timbre d'argent ?.. que rien n'a fait fléchir encore
(cette prolong. d'enfance dans la
pucelle d'orléans,
même
physiquementnon girondine, m'éprisait
Fauchet
2° les
tentations
viriles..
immortalité.. l'Elisée de plutarque..
ce qui
imprime
traits forts? ne voulait être oubliée. . .
acte de baptême agir une fois.. créer ? ou tuer ?
tuer plus
aisé – l'esprit du désert