T5-154V-01 (voir en contexte)

que La gironde bataille ne serait pas longue, et qu'il valait mieux déjeûner vainqueur. on commença à tirer vers huit heures, l'action ne devint sérieuse qu'entre onze heures et midi. Elle la bataille ne fut déc gagnée, tout à fait achevée qu'entre une heure et deux. Alors, xxxxxl'armée française put faire un léger repas. jusque là les nôtres jusque là marchèrent, tirèrent, se co battirent , sans autre nourriture que le Ça ira, et la Marseillaise, qu'ils chantaient sans se lasser. un Belge, vieillard misérable du village de Jemmapes qui seul de toute la contrée, tout le monde étant en fuite, resta et vit la bataille des hauteurs voisines, nous a racondit son impression dans ces moments solennels. Dès quequ'on xxxxxx nos colonnes montèrent, la musique de toute l'armée jouait d'ensemble l'air sacré, qu'on entendpar momens, dans les xx quand les rafales effroyables du bruit des canons serait quelque trève, son cœur surpris et saisi de cette douceur sublime, pacifique, autant que guerrière, faillit lui manquer, jeune et avide de guerre Il l'artillerie parlait peu à son oreille. mais cet hymne ces chant fraternel de l'armée de la Justice, venant rendre au monde ses droits oubliés, ah! c'était trop pour le jeune homme - jusque là, sujet de l'autrichien, il devint