T5-126V-01 (voir en contexte)

Pétion fut élu le 15 - Le 16, une pétition des jacobins d'auxerre, demandant la mort du roi, fut appuyée de la Montagne. Le 19, une adresse foudroyante de la Commune de Paris fut apportée à la barre, non adresse non non une adresse à la Convention, mais contre la Convention, qui désignait au poignard ces contre les nouveaux rois qui demandaient une garde. Désigner ainsi la gironde, c'était la marquer pour la mort. c'est ainsi que le parti violent masqua voila sa défaite dans la à force l'élection du maire d'audace, fesant oublier son petit nombre par ce dégré attendu de violence qui frappa de stupeur l'esprit public,inattendu inoui d'audace et de violence de commencer en quelque sorte le procès d'une assemblée qui n'avait rien fait encore. Celui du roi allait en être le prélude et le moyen. c'était l'épreuve du sang à laquelle la gauche appelait la droi les jacobins sang que la Commune et la montagne allait déférer aux girondins qu'elle accusait de royalisme : "Si vous êtes républicains, vous tuerez la royauté dans la personne du roi". Cette adresse, allait jusqu'à contester à la Convention le pouvoir législatif, elle s'appuyait abusait de la promesse qu'avait faite l'assemblée de soumettre la constitution à la sanction du peuple, et prétendant que l'appel d'une garde départementale que cette mesure de police et de sûreté pour l'assemblée était un décret constitutionnel Cette adresse xxx contestait à l'assemblée le droit de prendre une mesure de police et de sûreté. Elle prétendait qu'un tel décret était (chose bizarre) que ce décret de police devait être un article de devait était une partie de la constitution, et comme tel, devait être soumis à la sanction du peuple. La Co