T1-151R-01 (voir en contexte)

le temps ! 7 avril 1846 Malentendu Gironde , dit Rousselin 5 avril 1846 – Oui, et provenant surtout de ce que, les évén. se précipitant l'un sur l'autre, toute notion du temps du lieu avait disparu imaginez ce que ferait le monde, ayant perdu notion de temps ? il serait comme fol ! v. l'article prophétique de Faucher. . l'innocence primitive de la Rév. contribue à perdre la gironde ne sentent pas l'horreur de l'étranger – marient France et monde – ont voulu guerre, pour amour (comme Dante sur porte de l'enfer guerre aux rois, pour sauver peuples, > ils croyent que les peuples veulent être sauvés carra même qui a fait le 10 août, disait peu auparavant, que, s'il fallait un roi, il fallait le duc d'York ? ou roi de prusse ? (pour écarter orléans ? qui votait avec la montagne . X Delà fureur des girondins, contre 7bre qui nous aliène le monde et rend la propagande impossible. Cependant tout se dessine. L'angl. apparaît notre mortelle ennemie La Prusse, ménagée par Dumouriez le traître, n'en est pas moins ennemie Ce cosmopoltisime retombe, comme trahison, sur les arriérés qui sont déjà d'un autre siècle. . Les départements qu'ils attestent, se montrent en partie royalistes . . vendée Ainsi tout vient les démentir, les accabler . . . les 22 girondins semblent une tête . . où est le corps ? la France ? non ! trop discordants . et dans les 22, qui est chef ? pas un, dit mad. roland Roland ? brissot ? vergniaud non .