T1-166R-01 (voir en contexte)

ch. I° - délivrance - livre III. l'affranchissement par la fraternité - 6 oct. 89-14 juillet 90 - neuf mois. dim. rameaux 28 mars 47 – chapitre I° le 6 oct pouvait être la délivrance du roi. réclam. pop. pr délivrance de toutes les victimes de l'ancien monde prisonniers, moines, nègres, juifs, comédiens plus de crimes héréditaires1 Le coup du 14 juillet, c'est l'unan. de paris 2. Celui du 5 et 6 oct. l'unan de paris; tous n'agissent, mais tous approuvent 3. La fédération, vers laq. je marche, c'est l'unanim. de la France – au moment où ces grands faits . . j'ai beau écouter, je n'entends rien contre . . . plus tard, une imp. min. se ravisa et dit non. Mais elle ne dit nulle rien au moment. Elle fut de xxxxx C'était des frs après tout ; on l'a vu à la nuit du 4 août. à ces mom. sol. où le mir. des mir. l'unan. se fit sur la terre, où le ciel s'ouvrit, un indéf. mélange de terreur et d'admir. suspendit toute oppos.I s'accorder pr l'action, 14 juillet, rare mais plus sous une impression de colère, de crainte rare, mais plus facile. . 2 s'accorder pr l'action sous une impression de nécessité, de souffrance facile encore . . 3 Mais, s'accorder pr l'union .. rare, très rare. . Et que cela arrive, à travers tant de désunion, d'oppositions, que ces oppos. même groupent les hommes, que la discorde même opère la concorde grand spectacle . . Il s'agit peu des clubs encore – Le club, c'est la nation .. la garde nat. qui alors est tout le monde . . . … les munic. qui s'organisent . . (lorsqu'elles paraîtront insuffis. alors commenceront les clubs – - il s'agit des municipalités, de l'assoc. spontanée dans chaque ville . . .il s'agit des fédérations, des associations immenses qui comprenaient tous … assoc. spontanées, volontaires (les clubs moins volontaires sont le resserrement pour la résistance). ici, non resserrement, mais assoc. libres, vastes, expansives … tellement expansives et généreuses, – confiantes, et trop confiantes . . . qu'en résistant même, elles s'ouvrent à ceux à qui elles résistent, ex toulouse : N. pardonnons - IV, 115. ex. bretagne à pontivy : N. pardonnons - Duch. I. 243. ex - Metz intercède pour son parlement, 25 nov. III, 341. d'autant plus magnanimes que paysans brûlent chartriers. IV, 310. et villes obligées de défendre les châteaux . . nobles viennent jurer. = j'ai dans les mains, les procès v. innombr. des fédér. success. qui peu à peu réuniront la Fr. par groupes, par groupes de groupes, jusqu'à l'unité de la gr. fédération. - nul plus grand spectacle = la merveille, c'est tout à la fois, de se resserrer, de s'étendre . . . . se resserrent en fédér. défensives d'abord . . . se protéger les uns les autres féd. pr subsist. . . . se nourrir les uns les autres fédér. pr union . . . . . s'aimer les uns les autres et d'abord, villes et villes contre arist. – campagnes contre brigands, s'étendent mais l'aristocr. ne soulevera t'elle pas les campagnes ? .. non, campagnes, elles-mêmes veulent brûler châteaux . . il faut que villes protègent les châteaux leurs ennemis. nobles bretons viennent jurer. IV, 310et les camp. les villages se fédèrent. . pocès verbaux plus soignés …