T4-015V-01 (voir en contexte)

La situation de Robespierre enhardissait les cordeliers si douteuse, si obscure Jamais elle ne fut si flottante, en réalité si faible Le coup de théatre du 3 octobre, lorsqu'après le rapport d'amar, le couteau levé sur les soixante treize, Robespierre s'interposa xxxxxxxx Rob. humain Jusque là il s'était posé comme avait profondément surpris la montagne. Impitoyable jusque là (et mêmeimpitoyable, n'ayant jamais appuyé qu'une mesure de modération contre bordeaux rallié sans résistance !) il tournait court tout à coup, , et voilà qu'il tournait court ! court ! dans quel but, sinon de s'emparer de la droite et de la masse du centre ? Cette démarche inattendue xxxx mettait contre lui non seul Les deux comités surtout avaient à se plaindre, ils avaient l'odieux xxxxxx chose, lui la reconnaissance des sévérités, lui la bonne grâce et le mérite d'y avoir mis la mesure. Monopoliser ainsi la clémence, n'était-ce pas quelque chose qui ressemblait au droit de grâce, premier attribut de la royauté ? Il n'y avait qu'une manière de le défendre. Plusieurs de ses amis disaient que, sous ce masque sévère sinistre, dans sa fixe pâleur il cachait un cœur faible et tendre, qu'il ne se défendait pas bien contre son humanité, qu'après tout, Robespierre c'était plutôt un philosophie moral un homme religieux, un vrai philanthrope, plus qu'un politique, une ame faite pour un temps meilleur