92. 17
sept. lundi - Fauchet se justifie –– et à la
fin de la séance, apporte signatures de merlin, bazire, montaut, qui prouvent
qu'il a dit vrai.
mais non de DarrozMichelet a
recopié le nom qui figure sur le procès-verbal, mais Aulard corrige l'erreur
des rédateurs en restituantle nom exact : Dareau-Laubardère qui
a affirmé. . . . - on demande l'expulsion du dénonciateur desfieux - p. 3, colonne I. m.
rivage
rappelle dit : il existe dans cette
>société,
comme dans celle de Strasbourg, un réglement
cf. une tentation
d'humanité qui vient à
albitte (épargner
les émigrés de la peur); on l'en
fait rougir, il se repent.
séance du 1° oct.
n° 275, p.
3
qui oblige le dénonciateur
à communiquer le sujet de sa
dénonciation
à la personne qu'elle intéresse, avant de la
rendre publique . . Si M. desfieux l'eût suivi, il
n'eût fait dénonciation vague – je demande qu'on
l'improuve, – et ordre du jour -
Fauchet convaincu d'humanité, mais de mensonge.
n° 269, séance du 21, p. 3.
p. 4. charité à un déserteur autrichien - une
citoyenne des >tribunes lui
donne lit et table - 19 sept.
n° 268. Simon
de Strasb.
né en Savoie, député de Strasb. :
les intrigans plus mauvais
qu'aristocrates attaque
général des robespierristes
contre gironde
- contre Fauchet
- contre montesquiou. . l'affaire de
Fauchet tranchée par loÿs jeuneil ne m'a pas été possible d'en savoir
plus sur cette personne qui rapporte tém -
de bernard de saintes
c'est peu de jours après qu'on passa à
brissot... v. la séance du 10 octobre où il
est rayé
p. 3. col - 2 - un officier invalide obtient diplôme
d'affilié pr lui et les
gendarmes dont il est lieutenant -colonel et qu'il emmène
> p. 4. col. 2, guirault, l'adjudic. du
terrain
jac. (l'h. du 2 sept ?)
rappelle que, les
opinions étant trop opposées, il facilita
>cela eût dû se
placer à la p. 342, 468 du
t. IV
lui-même
rassembl. de députés dans une caserne
qui dépend de ce local; de là, grand bien, et
petits maux (là on a demandé si on demanderait
accus. contre robespierre
- aujourd'hui mettez les
scellés de l'amitié sur ces portes qui doivent à
jamais être fermées à l'avenir . . on a dit que les
jac. siégeraient à l'ancienne assemblée. . erreur
j'ai promis d'élever ici monument à la liberté
je veux faire un journal de l'assemblée
nat.
n° 270, 25 sept.
séance du 23 - indignation de Duperret,
collot, p. 3, de voir
si peu de
députés de la convention
des gens
qui se disent jacobins, ne vont pas aux jacobins !
séance du 24, la guerre –
petion, fabre ...
xxxxxx
dans la séance du 24, Pétion
vient enfin, préside -
- chabot : forçons
la convention d'organiser
gouvernement ils veulent fédération
- Fabre dénonce
buzot,
qui a dénoncé
châlons, et qui veut
loix de sang. . - barbaroux :
les marseillais
viennent..
expliqué au lundi 1er oct
(n° 275, 3 oct. 92
mieux
thuriot explique
que ce rassembl. de députés de la législ. s'appelait
créé pour les jours
d'orage
la
réunion,
qu'on se réunissait à minuit, après l'heure des jacobins ––
que la société explique
qu'en déclarant qu'elle excluait de son
sein tout député
qui
tiendrait à une autre société
que non publique,
elle n'a pas entendu exclure les députés qui
assisteraient à cette réunion. ––– autrement, elle
excluerait 200 membres de la
Convention. Non, dit collot, rien qu'avec le
peuple, sous les yeux du peuple. – point de secret
le roi reproche
ingratitude ; c'est cette société qui éclairant le peuple, a fait la
révolution. le roi, chabot,
parlent dans le même sens, la société déclare sur la propos. de ce
dernier : que, sans donner à son arrêté un effet
rétroactif (c. à. d. sans condamner la
réunion)
elle le confirme de
nouveau ––
> ainsi se réunir
aux jacobins, – ou ne pas se réunir, malgré jacobins, contre
jacobins – confirmation
solennelle du gouvernement de parlage - on ne se rencontrera
que sur le champ de bataille, sous les yeux des tribunes,
à la convention. Nul rapprochement possible entre la montagne et
la gironde.