T5-116R-01 (voir en contexte)

le p. imp. en 92 – mais le temps s'en est chargé Les faits qui le chargent le plus la mém. de L. XVI inconnus avant 1815 - à partir de cette ép. les royalistes eux-mêmes sont venus les uns après les autres dép contre le roi, le convaincre de mensonge, xx l'accabler et l'acc. de leurs démentis – Le procès était impossible en 92 : ceux qui décidèrent la cond. du roi déclar. eux-m qu'on ne pouvait le faire mourir que comme ennemi, au nom du salut public. auj. le procès est devenu possible, le parti du roi x en ayant lui-m. fourni les pièces pendant la rest, et réclamé, comme mérites, tout ce qui en 92, eût compté pour crime. ainsi le roi avait affirmé dans sa xxxx déclar. aux commiss. de la constit. le 26 juin 91, au retour de Varennes, et répété dans d'aut que jamais il n'avait eu l'int. de sortir du roy. hist. p. X, 395 moi p. 99 – En 1815, m. le comte de Val. le l'un des g. du c. choisi par le r. p l'acc. à Var (présid. en 1815 de la cour prév. du Doubs) nous apprend dans son récit que le roi lui dit p. 257 - (p. 257) - Le roi affirme dans sa déclar. 26 juin Aucun rapport avec ses frères et le 7 juillet il expédie pouvoirs pour monsieur - b. molleville, mém. t. II, p. 171-2 - en 1820, les mém. jud. de Froment, du grand premier organis. de la g. civile p le parti royaliste, n. apprirent qu'en 90, le roi et la reine avaient à Turin près du c. d'Artois, un agent secret, l'allem. Flachslanden - Il affirme aucun rapport avec puiss. étrangères (et mad. campan 1823 II, 169 aucune protestation, dit-il en 91 le jour même de et en 90 (dit Hard. 1828, I, 103) - l'acceptation non à l'Esp. seul. mais à la prusse; 3 déc. 90furieuxpr xxx le présid. assis envoie mallet dupan voir pilnitz - bien plus - non seulement relations avec puiss. mais appel aux armées. expliqué par les Bouillé pr leur justification, dès 97, le père en 1823, le fils p. 41. rien sans secours étranger) il donne pouvoir à breteuil. . . . enfin, en 1834, on publie une lettre de la reine qui demande revue rétrosp. troupes à Léopold en mai ? 91 - on avait dit vaguement qu'il coopérait avec puiss. étrangères pour rédaction de manifestes pour diplom. pour mouvem. des armées - enfin, hue nous apprend qu'au 10 août il envoie aubier au roi de prusse > xxx hardenberg I, 418 n. apprend que son agent Caraman était à Valmy Weber dit avoir été chargé par metternich d'annoncer à l'Empereur l'espoir que l'anglet. accédait à la ligue, 14 déc. 92 = si son procès eût été éclairé par ces pièces et ces témoignages, il eût apparu qu'il avait peu d'anal. avec celui de Ch. Ier qui n'appela point l'étranger ne voulut imiter ch. Ier mais dépassa. . mais plutôt avec ceux des princes du sang qui tant de fois amenèrent l'ennemi en Fr. condé au XVII siècle, les s. pol et les nemours au XVbourbon au XVI se firent les guides et cond. des armées étrangères - La dernière affaire a un monumens bien lugubre, la provence incendiée, qui est restée . . . un désers (horreur. . lettre de grâce d'un archer gille de retz) celui-ci roi.. mais circonstance agravante et dans le ventre de nos femmes le fruit du cosaque.. tante de Victoire viol de la cousine de la marraine scellier Dans son Journal (t. III, Gallimard, p. 421), Michelet note à la date du 25 septembre 1866 : "La cousine de Mlle Adel. Scellier qui fut violée par vingt cosaques, inondée de sperme […], conçut pourtant, mais fit une fausse couche." Les références présentes dans ce papier seront recherchées ultérieurement.