T2-206R-01 (voir en contexte)

report.….… d'avoir des bénéfices en 1793, notre capital éprouveraune diminution, cependant nous estimons nos bénéfices ce qui fait pour mon quart.….….….….….….….…...à déduire l'intérêt à 5 pour cent de 100,000 l. que jedois à mon père.….….….….….….….….….….…... à déduire pour moi célibataire.….….….….….….…. reste soumis à l'emprunt.….….….….….….….….….Pour lesquels je dois fournir à l'emprunt ci....2,100 l. 23,064 l. 14. 24,935l. 648,000 l.12,000 l5,000 l.7,000 l.1,000 l. 6,000 l. Mes frères firent de pareilles déclarations dans les communes qu'ilshabitaient; elles furent examinées et trouvées justes, cependant notrepatriotisme nous engagea de prêter chacun de nous 3,700 l. dans l'empruntvolontaire; mon père y prêta 5,000 l. ce qui excédait les obligations que laloi lui imposait. Depuis environ un an, nous avons abandonné entièrement le commerce; aussi n'avons nous pris aucune patente : nous avons travaillé à la liquidation de nos créances actives et passives, et nous avons procédé à la dissolution de notre société. L'inventaire que j'ai fait avec mes frères depuis mon retour de la convention, prouve qu'il ne nous reste que le domaine du terral, dont le quart m'appartenant ne >me représente pas le capital de 65,976 livres 3 sous 8 deniers, que j'avais le premier Avril 1791, époque du dernier inventaire signé avec feu Pierre Roche, trois mois avant ma nominaton à l'assemblée législative, dans lequel capital se trouvent compris les 50,000 livres que mon père m'avança en 1785 sur son hoirie à la vérité, nous avons à espérer la rentrée de quelques sommes qui nous sont dues par des débiteurs qui nous payent aujourd'hui en assignats valeur nominale, ou par des débiteurs en faillite ou en retard depuis plusieurs années; mais cela