T3-060V-01 (voir en contexte)

XIe leçon la fantaisie de la renaissance a t'elle suppléé ? mercr. 6 mars 1850 – résumé des dernières leçons : la 7 et la 8, Fénelon, rousseau –– les docteurs n'ont point aidéla 9 et la 10, la règle a manqué les croyances, les habitudes la légende a manqué n'ont point ai[xxx]XIe leçon Et la fantaisie artiste a t'elle suppléé ? . . . .les poëtes, au défaut des docteurs, ont-ils enseigné le monde ? objection : les poëtes ne sont chargés d'enseigner, ne sont précepteurs . . " d'accord- mais, dans une vie forte et vraie, le poëte est celui qui ne parle pas seulement, maisqui agit et créeétrange division du travail : on se met poëte, comme on se met tailleur,xxxx xxxxon s'établit, on prend une enseigne. . . l'ancien artiste chez les grecs était un grand citoyen qui travaillait profondément la ci[té]qui était lui-même le génie de la citél'artiste moderne de même . . Beethoven a été le grand citoyen de l'alle[magne] c'est ce qu'on vient d'exposer à merveille dans unlivre naïf et profond, qui m'est trop cher pour en parler Il s'agit du livre d'Alfred Dumesnil, "La Foi nouvelle".1300-1600. je parle des temps intermédiaires, qu'on appelle la renaissance