T3-064R-01 (voir en contexte)

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point d'opinion propr. girondine . . pas une des prescriptions n'eurent pr cause un système ni polit. ni relig. toutes s'appuyèrent sur des accusations de trahison, d'immoralité - les gir. - eurent moins de talent que la montagne comme elle, ils s'appuyèrent sur l'odieuse maxime de la nécessité - mais l'accusation de fédéralisme est une sottise atroce . . Il dit très bien (monde, 28 août 37) . si les partis refusent de vider cette question, tant pis pour eux . . leur silence tournera au profit du pouvoir (c.à.d. que s'ils ne tranquillisent pas l'opinion sur leurs vues d'avenir, le pouvoir continue d'apparaître comme unique garantie d'ordre et de paix) - = Le 22 7bre 1837 (monde, n° 311), Pététin et Favre quittent la rédaction du monde« La Presse est, de la nature appelée à accomplir la propagande des idées, . . Elle a été simplement le centre d'un complot . . . complot légitime sous beaucoup de rapports ; mais c'était un complot, un projet prémédité d'agir avant d'avoir l'assentiment de la nation pour soi, pour les idées que même on croyait devoir lui cacher . . ce n'est donc pas contre le gouvernement qu'il était dirigé (ou du moins qu'il était criminel) > : c'est contre la souveraineté du peuple - » " La victoire du pouvoir était infaillible, dans le cas où la masse populaire resterait neutre - - " Le 1e progrès qu'ait à faire le parti radical, c'est de cesser d'être un parti, — — et devenir le peuple " Des idées fondam. où se fondera la démocr. nulle qui ne soit acceptée de tous les hommes éclairés de l'Europe . . que reste à faire ? se montrer conséquens à ces idées, croire à la liberté . . Le parti rép. n'y croyait pas - . . obscurités . . mais le peuple veut une affirmation hardie, complète, absolue - que le parti radical, exclu du champ de la politique officielle, qu'il s'empare de la conscience publique . . A la presse à faire ce travail . . La presse doit s'appliquer à continuer la pensée révol. immobile depuis la Terreur Il faut un principe clair . . . Si ce principe est interprété dans le feu-jacobin, et non dans le feu-républicain la cause de la liberté est pr longtemps perdue ; car ce fantôme du jacobinisme que l'on conserve pour effrayer l'ennemi, épouvante les peuples encore plus que les rois »

Titre : Papiers Michelet

Sous-titre : Notes sur la Révolution française

Propriétaire : Bibliothèque historique de la Ville de Paris

Programme : Note transcrite dans le cadre du programme « La Fabrique de la Révolution », Université Paris Diderot, coordonné par Paule Petitier.

Financeur : Ce programme est financé par l’EA CERILAC (Paris Diderot), l'Action structurante Centre Seebacher et le programme « Usage des patrimoines numérisés ».

Logiciel : La transcription de ces notes utilise le logiciel Chaîne éditoriale développé par Thomas Lebarbé de la Maison des sciences de l'homme de Grenoble.

Encodage : Le schéma de transcription a été élaboré par Paule Petitier, coordinatrice du projet, et développé en partenariat avec Cécile Milot (ADeL - Archives et Documentation en Ligne) et Baptiste Milot (société Oxiel). Le secrétariat d'édition a été assuré par Maryelle Magret.

Métadonnées du papier

Cote du fichier : T3-064R-01.jpg

Cote du volume : Papiers Michelet Révolution III A.3807-3808

Cote du folio :
• Cote A : A3808
• Cote C : c/59
• Cote Bic : 69

Largeur (mm) : 215

Hauteur (mm) : 360

Aspect : marque de pli ; page filmée

Type verso : libre et vierge

Scripteur : Jules Michelet

Date : 2018/06/25 Modifications : métadonnées Transcripteur : Maryelle Magret

Date : 2019/04/16 Modifications : transcription initiale Transcripteur : Claudie Faure

Date : 2019/04/29 Modifications : corrections Transcripteur : Cécile Brémon